Surconsommation énergétique, dérèglement climatique, appauvrissement de la biodiversité reste une inquiétude générale quant aux menaces sur la planète sur fond de pression démographique comme jamais dans l’histoire de l’humanité. Avec la baisse fallacieuse des coûts de production des énergies renouvelables, de l’hypothétique stockage de l’électricité et avec la digitalisation du secteur, une révolution énergétique mondiale potentiellement dangereuse est à l’œuvre.
La France, s'est engouffrée par pression de l'écologie politique dans une orientation énergétique coûteuse, inefficace pour lutter contre le changement climatique, dangereuse pour l'environnement et la santé des Français. S'il est possible de concilier croissance économique et préservation de l’environnement, il faut continuer d'accorder les moyens à la recherche et à garder nos centrales nucléaires pour assurer notre indépendance énergétique, un tarif bas de l'énergie.
Préparer l’après-pétrole en nous engageant vers l’économie décarbonée : nous devons concentrer nos efforts de réduction sur les secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre et les plus polluants.
Promouvoir les systèmes d'amélioration des moteurs diesel pour une réactivité d'amélioration de la qualité de l'air tout en améliorant la consommation de carburant. La France ne doit pas démanteler par idéologie les filières qui ont forgé son excellence en matière environnementale depuis des décennies.
Plutôt que de défaire de ce qu’elle fait le mieux, elle doit se consacrer à poursuivre ses efforts, et, comme le climat est mondial, elle doit consacrer du temps et des moyens à partager ses savoir-faire avec le reste du monde : là est le levier pour agir ! L’urgence est la politique de l’eau : l’accès à l’eau douce pour les cultures et l’agriculture, afin de nourrir l’humanité, et l’accès à l’eau potable pour les humains.
Nous devons mettre en place sur ce sujet, comme sur d’autres, de nouvelles solidarités basées sur l’échange du savoir et des idées.
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