Le Mouvement de la Ruralité (LMR) a déjà fait valoir par la voix de son président et ancien conseiller régional Eddie Puyjalon, son opposition au projet de 1.000 hectares de panneaux photovoltaïques à Saucats, notamment lors des assemblées plénières de la dernière mandature au Conseil Régional.

Le Mouvement de la ruralité considère comme un non-sens environnemental, économique et social le défrichement de mille hectares portés par Engie et Neoen. Le président de LMR, signataire de la pétition d’opposition au projet, participera activement aux débats publics en commençant par celui du Palais des congrès ce jeudi 09 septembre 2021.

Tous les arguments du porteur de projet restent fallacieux et même en les parant de vert, de durable, d’agroécologique, voire d’agri-énergétique, il n’en demeure pas moins qu’il se résume essentiellement à une opération financière juteuse comme on en rencontre souvent avec les affairistes du vent ; ces fameux sans foi ni loi de l’éolien comme les surnomment les milliers d’associations d’opposition citoyennes à cette énergie.

Aucune compensation environnementale ne saurait justifier une telle dérive et contredire certaines politiques régionales et départementales visant à stopper l’artificialisation des sols et la déforestation. Là, par son opposition, le président du Conseil départemental de la Gironde reste cohérent avec sa politique. On ne peut pas en dire autant d’Alain Rousset ou d’Emmanuel Macron, et leur limite du "je dénonce l’artificialisation des sols, je dénonce la déforestation et EN MÊME TEMPS j’assure la promotion de projets qui cumulent les deux méfaits précités".

Non seulement cette énergie n’est pas aussi verte qu’annoncée, mais elle va à l’encontre d’une politique économique d’avenir. La Nouvelle-Aquitaine devient un vaste Monopoly pour les affairistes des énergies renouvelables où la rue de la paix a été remplacée par le chemin de la ruralité.

Entre les lacs, les terres agricoles et forestières recouverts de panneaux photovoltaïques et de parcs éoliens, les espaces ruraux sont devenus une vaste zone industrielle pour des financiers peu scrupuleux et des élus en mal de finances publiques.

Ce projet est l’exemple contraire du programme économique porté par le Mouvement de la Ruralité durant la campagne des élections régionales qui s’appuyait sur la restructuration de la filière bois, avec un investissement sur les premières et secondes transformations. Il s’agissait d'une mesure de bon sens pour répondre au 7 milliards d’euros de déficit de la balance commerciale de la filière bois en France, plutôt économiquement plus efficace que d’importer des cellules photovoltaïques de Chine !

Il faut s’organiser pour structurer et transformer notre filière bois en France. Contrairement au projet Horizéo, qui n’est pas la bonne réponse à la situation environnementale, économique et climatique, le projet LMR de végétalisation pour une meilleure gestion de l’eau et son programme 3S  (Séquestration, Stockage, Substitution) par un vaste plan de développement de la forêt, sont une réponse économique, énergétique et d’action pragmatique contre le dérèglement climatique !

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À l’heure où tous les pendants de la vie rurale sont aujourd’hui attaqués, nous devons tous nous mobiliser !

Nos territoires sont mis sous cloches, saccagés par des éoliennes et d’autres artificialisations destructrices. Notre mode de consommation carnée est attaqué. Notre histoire, nos traditions nos us et coutumes, notre culture en général sont remises en cause par des bobos rurbains, les végans, les animalistes et les politiques déconnectés de la France rurale.

Il faut vous mobiliser et mobiliser vos amis pour la manifestation de défense des chasses traditionnelles et de la ruralité

Samedi 18 septembre devant les arènes de Mont-de-Marsan à partir de 9h00

Vous avez à votre disposition un tract à imprimer (cliquer ici pour le télécharger) pour que tous les chasseurs présents puissent chanter avec David Olaizola "Ne Touchez pas nos traditions !

Merci de diffuser sur les réseaux sociaux et dans vos amis, l’heure est grave et nous ne pouvons compter que sur nous pour mobiliser....

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Le Mouvement de ruralité appelle à la mobilisation de tous les acteurs de la ruralité soucieux de la défense des traditions françaises.

Aujourd'hui plusieurs chasses traditionnelles viennent d'être interdites par le Conseil d'État sous l'action en justice d'associations animalistes. Demain ce seront tous les us et coutumes de la ruralité qui passeront au couperet des intégristes animalistes et de leurs affidés.

LMR appelle toutes les fédérations de chasse et les associations cynégétiques à participer à toutes les actions de défense des chasses traditionnelles organisées sur le territoire national et soutenues par la Fédération nationale des chasseurs.

Plus que jamais, l'union des forces vives de la ruralité permettra de répondre aux attaques sur notre identité et notre idéal de vie. Le Mouvement de la ruralité participera à toutes les actions de défense et prépare pour le mois de septembre le lancement du Conseil National de la résistance rurale regroupant tous les acteurs du monde rural concernés par l'ostracisme rural.

Déjà de nombreux acteurs de la ruralité ont répondu présents à l'appel de LMR pour construire cette force de résistance qui permettra de maintenir en vie l'histoire de notre pays et celle d'une ruralité vivante.

Le président du Mouvement de la ruralité, tête de liste aux élections régionales en Nouvelle-Aquitaine, accompagné de nombreux cadres sera présent à la manifestation organisée à Mont-de-Marsan, samedi 18 septembre, pour soutenir l'action de défense des chasses traditionnelles françaises.

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Le Conseil d’État vient de donner raison à la LPO et à One Voice en annulant les autorisations ministérielles de chasser les oiseaux migrateurs (vanneaux huppés, pluviers dorés, alouettes des champs, grives et merles noirs au moyen de cages ou de filets, pour non-conformité au droit européen relatif à la protection des oiseaux.

Dans ce jugement, il considère que le ministre n’a pas apporté les preuves nécessaires à leurs questionnements. Or qui peut croire qu’une ministre aux racines d’EELV, opposante à la chasse, puisse s’enquérir de façon optimale des réponses étayées à leur apporter.

Pourquoi condamner une pratique traditionnelle aux prélèvements limités et parfaitement sélectifs puisque seul, le chasseur décide de déclencher le filet pour attraper l’oiseau autorisé et convoité ?

Alors que dans un même temps, l’Europe tolère des millions d’oiseaux protégés tués par les centaines de milliers d’éoliennes en Europe ; 18 millions d’oiseaux par an rien que pour l’Espagne - source Sociedad Española de Ornitología (SEO Birdlife) - selon le communiqué de presse du Conseil National pour la nature (lire le communiqué), auquel on peut rajouter d’autres millions tués par les chats et les perturbateurs endocriniens… sans sélectivité évidemment !

Les juges du Conseil d’État ont-ils passé une seule journée avec un chasseur d’alouettes ou de vanneaux aux filets ? La réponse est forcément NON, car ils sauraient la sélectivité absolue de ce type de chasse ! Ces juges condamnent des pratiques en petites quantités et pendant ce temps-là, sans mot dire des mêmes associations animalistes, des myriades de filets verticaux tendus sur les côtes africaines qui détruisent sans discernement des centaines de milliers d’oiseaux migrateurs traversant la méditerranée.

Le Mouvement de la ruralité dénonce un acharnement culturel et traditionnel de la part des orchidoclastes environnementaux… Plus que jamais une charte des traditions européennes doit-être proposée et il est urgent de sortir la tutelle de la chasse des griffes du ministère de l’Écologie pour un véritable secrétariat aux ressources renouvelables incluant la chasse, la pêche, la mer et la forêt au sein du ministère de l’Agriculture.

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Si seulement les juges du Conseil d’État en savaient plus sur les dossiers qu’ils ont à traiter ! Ils viennent de condamner l’État pour manquements à améliorer la qualité de l’air à une astreinte de 10 millions d’euros pour le premier semestre 2021. Si la sanction financière infligée par la haute juridiction est justifiée, c’est la redistribution de la somme qui apparaît dénuée de bon sens. Effectivement, ironie de l’histoire, les fonds seront partagés par des associations engagées dans la lutte contre la pollution de l’air, ceux-là mêmes qui refusent des solutions parallèles innovantes et à l’efficacité prouvée et reconnue au niveau européen.

Depuis longtemps, le Mouvement de la ruralité interpelle les dirigeants politiques, notamment tous les présidents des régions de France sur l’existence d’un kit de comburation made in France qui fait baisser de 70% les particules fines de tous les moteurs thermiques.

Imaginons si dans sa clairvoyance les juges du Conseil d’État avaient obligé l’État à financer pour 10 millions de ces kits pour les automobilistes. Une mesure environnementale, sanitaire, mais aussi sociale par la baisse de consommation de carburant qu’apporte cet équipement innovant. Pourquoi négliger une solution qui permettrait de diminuer drastiquement les particules fines responsables de 40.000 morts entre 2016 et 2019 ?

Messieurs les décideurs et autres juges du Conseil d’État, si demain le parc automobile des grandes villes était équipé de ce procédé, imaginez que d’un coup de baguette magique, on fasse baisser de 70 % les particules fines dans l’air : combien de maladies respiratoires et de mortalité évitées et de qualité de l’air retrouvée ?

La consommation française annuelle de carburant à usage automobile est d’environ 50 milliards de litres. Si on économisait entre 8 à 10 % par la mise en place d’un kit, ce serait aussi une économie de près de 5 milliards de litres. Au lieu de répondre à l’urgence en proposant des voitures électriques et à hydrogène demain, proposez des kits de comburation efficaces aujourd’hui !

A méditer messieurs les décideurs !

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