Nous nous réjouissons des résultats du sondage IPSOS/FRANCE BLEU/FRANCE 3 qui nous place à 2% des intentions de vote, sans que soit mentionné le nom de notre liste dans la question posée aux électeurs : "Le Mouvement de la Ruralité, Résistons ! avec Jean Lassalle". En effet, comment tirer des leçons d’un sondage qui ne fait apparaitre nulle part le nom de l’homme politique le plus connu de notre grande région, icone de la Nouvelle-Aquitaine, parmi tous ceux engagés dans ces élections régionales ? Effectivement Jean Lassalle, qui sera présent sur notre liste dans la section Girondine, est de loin, celui qui est le plus connu de tous. Il a une cote de popularité bien supérieure à tous ses adversaires régionaux.

Nos déplacements dans chacun des 12 départements le confirme chaque semaine. Cette photographie aujourd'hui, sans que les personnes interrogées n'ait connaissance, ni des programmes, ni de la réalité des candidats, est donc un signe d’encouragement pour notre dynamique de campagne ! Retrouvons-nous, au soir du premier tour pour prendre connaissance de la réalité des résultats et de la capacité de chacune des listes à mobiliser son électorat. Quant à nous, candidats de la liste "Le Mouvement de la Ruralité, Résistons ! avec Jean Lassalle" conduite par Eddie Puyjalon et soutenue par le Mouvement des Citoyens (MDC), nous sommes parfaitement conscients que Jean Lassalle, candidat sur notre liste reste un des meilleurs atouts dans cette période. Les officines politiques ont fait leur temps.

Les 20 et 27 juin prochain, opposons le bon sens à la technocratie, préférons l'écoute à la parole électoraliste et choisissons la vérité plutôt que les mensonges. Nous avons besoin d'air, besoin de respirer, besoin de liberté ! Nous avons besoin d'un nouvel état d'esprit, de nouvelles valeurs : celles de la ruralité. Les Néo-Aquitains vont voter pour nous. Mais ils ne le savent pas encore ! 

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Dans le cadre de la campagne électorale régionale de Nouvelle-Aquitaine, Eddie Puyjalon tête de liste "Le Mouvement de la Ruralité et Résistons! avec Jean Lassalle", accompagné de Jean Lassalle, soutien et partenaire de la liste, et d’Alain Merly, tête de liste lot-et-garonnaise, se rendront

Jeudi 29 avril à 15H00
chez Laurent GROUSSIN
lieu-dit « L’église » - Route de belli
47700 CASTELJALOUX

A cette occasion un point presse sera tenu pour annoncer les membres de la liste conduite par Alain Merly dans le Lot-et-Garonne.

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L’exode rurale amplifié par les dernières grandes mutations de nos sociétés amène désormais 80 % de la population française à habiter dans de grandes villes. La déconnexion entre les citadins et la nature s’est accentuée avec la montée de l’individualisme et l’essor des technologies modernes, notamment les réseaux sociaux. Même si ces évolutions urbaines de nos modes de vie se perçoivent aussi à l’île de la Réunion, nous demeurons ici, pour l’instant, encore préservés.

Le terme de Ruralité pour une île évoque non seulement la terre, mais aussi les activités de bord de mer, qu’elles soient de pêche, de collecte de coquillages, ou encore de loisirs. La chasse des tangues, des guêpes, les petits élevages familiaux, les batailles coq tout comme la pêche traditionnelle constituent des pans essentiels de notre patrimoine, et le ciment de notre identité qu’il convient de préserver.

Cependant, aussi bien intentionnées soient-elles, de plus en plus de lois « hors-sol », votées en métropole, sont inadaptées à nos spécificités, et conduisent à un sentiment d’injustice grandissant, du bord de mer à nos plus hauts sommets. Il est important d’anticiper et de résister, en intégrant dans le champ politique réunionnais la défense de la Ruralité, avant qu’il ne soit trop tard.

Ces dernières années d’ailleurs, un nouvel ordre moral cherche à nous imposer une égalité, voire une supériorité de l’animal sur l’humain. Les animaux, qu’ils soient de compagnie, de ferme, sauvages ou prédateurs sont devenus la coqueluche des grands médias influençant l’opinion et donc nos politiques. La condition animale devient une thématique parmi les plus débattues dans nos hautes assemblées, avec une surenchère de textes qui, sous couvert de bien-être, visent à faire abolir toute consommation ou utilisation de produits d’origine animale. On criminalise d’abord la souffrance, avant de criminaliser la mise à mort à des fins de consommation.

La France est un grand pays de la gastronomie, et on ne peut pas rester sans réagir face à l’entreprise de culpabilisation du consommateur de viande ou de poisson, face aux attaques incessantes contre toutes les formes d’élevage, qu’elles soient éthiques ou même de subsistance.

Que direz-vous si demain cette mouvance arrivait à faire supprimer le rougail saucisse, le boucané, le poisson rouge, les bichiques, ou encore le cabri massalé ? Vous en ricaneriez, et pourtant en l’espace de 10 ans, cette pensée s’est élargie au point d’influencer désormais nos propres enfants.

En parallèle, les grands groupes industriels se sont engouffrés dans cette nouvelle niche et soutiennent la diffusion de cette idéologie, puisqu’elle leur permet de conditionner le marché tout en verdissant leur image. C’est un signe qui ne trompe pas, entre financiarisation de la nature et boom de l’offre de substituts aux produits d’origine animale, avec même de la viande cellulaire, déjà fortement cotée en bourse.

Nous sommes entrés dans l’ère d’un nouveau choc de société : celui d’une « élite » des villes contre les « invisibles » des campagnes, celui de la nourriture synthétique contre l’alimentation traditionnelle.
Il est pourtant encore possible de tendre ensemble vers une société plus juste, plus responsable et solidaire, avec des modes de production durable, des circuits courts permettant de proposer une alimentation végétale et animale plus saine, de qualité, et respectueuse de l’environnement.

C’est dans cet esprit de préservation de nos droits et libertés essentielles, de conciliation de nos modes de production agricole avec les évolutions sociétales actuelles qu’a été créé Le Mouvement de la Ruralité.

Nous vous invitons aujourd’hui à le découvrir et à le soutenir, pour que l’avenir de nos enfants ne soit pas un monde artificiel sans bruit sans odeur, sans saveur, définitivement déconnecté des réalités… et de la nature.

 

2021 04 28 LMR Reunion 

 L'équipe LMR La Réunion (de gauche à droite) : Mylène VEMINARDI, élue de la commune de Saint-Leu - Jean-François NATIVEL, représentant départemental et outre-mer du Mouvement de la Ruralité, élu de la commune de Saint-Paul - Jean-Louis ATHENE, technicien agricole, référent agricole LMR Réunion - Jorris MAURIN élu de la commune de Trois-Bassins

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Dans le cadre de la campagne des élection régionale en Nouvelle-Aquitaine, Eddie Puyjalon tête de liste "Le Mouvement de la Ruralité et Résistons! avec Jean Lassalle", accompagné de Jean Lassalle, soutien et partenaire de la liste régionale, et de Yves d’Amécourt, tête de liste girondine, se rendront

demain mercredi 21 avril à 14H00 
chez Rémi Ballarin, viticulteur - Château Roc de Levraut
route de Balestard - Sauveterre-de-Guyenne

pour aborder la situation catastrophique du gel et plus largement de la répétition des aléas climatiques et de la situation internationale qui frappent le principal secteur économique du département et l’un des plus importants de la région Nouvelle-Aquitaine.

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Dimanche 21 mars, France 5 a diffusé un documentaire intitulé « Sur le front des forêts françaises » (voir le replay sur bit.ly/2Pb00B7)

Les forestiers espéraient voir une analyse documentée sur la situation de la forêt et les difficultés auxquelles les sylviculteurs sont et vont être confrontés, notamment du fait du changement climatique.

Quelle déception ! il agissait essentiellement de faire de la propagande pour des écoterroristes qui s’opposent aux coupes rases (si on peut admettre que la coupe rase soit perturbante pour le profane, le sylviculteur y voit une technique recevable dans de nombreux cas pour garantir une remise en état d’un peuplement forestier).

On y voit notamment des activistes pénétrer par effraction sur un site industriel ou harceler des entreprises d’exploitation forestière, tout cela sous l’œil bienveillant de la caméra. Mais on y entend aussi des propos qui présentent des faits de manière tendancieuse :

  • Oui, c’est sur la base de plantations que la forêt s’est agrandie en France : n’en déplaise à Monsieur Clément, la forêt n’apparaît pas toute seule, sinon, ce n’est pas de la forêt, c’est de la friche ! Donc, au lieu de jeter le discrédit sur leur action, réjouissons-nous plutôt qu’il y ait encore des gens pour investir dans des plantations qui ne leur rapporteront jamais rien !
  • Oui, la forêt française se régénère en grande partie par plantation. N’en déplaise là encore à Monsieur Clément, la forêt naturelle est un mythe : en France métropolitaine la forêt primaire n’existe plus depuis bien longtemps, toutes les forêts ont été modelées par la main de l’homme.
    Quant à la forêt des Landes, rappelons que c’est pour l’essentiel une forêt artificielle qui a été installée au 19ème siècle pour valoriser des espaces marécageux et fixer les dunes.
  • Oui, il y a probablement eu des erreurs de gestion sylvicole il y a un demi-siècle. Mais il faut rappeler qu’il y a cinquante ans, on ne parlait pas encore du réchauffement climatique et que les choix de l’époque étaient parfaitement justifiés selon les informations disponibles à ce moment-là. Il est toujours facile de critiquer a posteriori.
  • Oui, les forestiers cherchent en permanence à adapter leurs pratiques sylvicoles aux conditions de leurs écosystèmes, tant dans le domaine public (ONF) que dans les forêts privées. Et les sylviculteurs n’ont pas attendu Monsieur Clément pour cela : la technique de la futaie irrégulière aujourd’hui remise à l’honneur existe depuis des siècles, la création du mouvement « pro sylva » qui a formalisé cette méthode remonte à plus de trente ans !
  • Oui, quelques absurdités de l’économie forestière sont relevées dans ce documentaire. Mais elles sont insuffisamment et imparfaitement traitées :
    • oui il est scandaleux que des grumes dignes d’être exploitées par les scieurs soient transformées en combustible. Mais pourquoi est-ce le cas et comment y remédier ?
    • oui il est absurde que des grumes partent en Chine pour nous revenir transformées en France. Mais là encore, aucun approfondissement de la question : pourquoi la filière bois française n’est-elle pas capable de transformer ces bois sur place ?

LMR n’est évidemment pas surpris des outrances proférées par Monsieur Clément. Il est coutumier du fait. Pour autant LMR regrette que Fance 5 s’en fasse complice en le laissant faire de l’activisme au lieu de faire du journalisme. En agissant ainsi France 5 a raté une occasion de traiter sérieusement un sujet qui le méritait.

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