Actu environnement

Président : Bernard Borel

1° Vice-président : Hubert de Montmarin en charge également de la communication
2° Vice-président : Hugues de Poncins en charge du juridique
3° Vice-président : Jean-François Nativel en charge DOM-TOM

Secrétaire général : Stéphane Trottier
Secrétaire général adjoint : Jean-Émile Moreau

Trésorier : Patrice Boccadifuocco
Trésorier adjoint : Kévin Grenot

Porte-parole : Hubert de Montmarin

6 conseillers :

  Énergie : Eddie Puyjalon
  Scientifique : Jean-Yves Jouglar
  Grands prédateurs terrestre et intelligence artificielle : Michel Rezk
  Grands prédateurs marin : Jean-François Nativel
  Politique : Dominique Monnot
  Juridique : Hugues de Poncins

Quel est le parti politique qui peut se vanter de n’avoir vécu aucun soubresaut au cours de son existence, de n’avoir jamais subi de revers, jamais craint pour son avenir ? Comme tous les partis politiques qui comptent aujourd’hui, Le Mouvement de la Ruralité vient de vivre sa période de désunion, voire de déchirements. C’est dans la capacité à se relever, à apprendre de son passé, de ses erreurs surtout, que l’on se forge une identité et une culture. Aujourd’hui Le Mouvement de la Ruralité repart plus ambitieux que jamais.

Le 24 janvier dernier a eu lieu l’élection du nouveau Président, Bernard Borel, et celle d’une équipe soudée autour d’une vision et d’une ambition commune : préserver un mode de vie, des mœurs, une culture qui sont le terreau de la ruralité, terreau qu’une écologie idéologique et une modernité hors contrôle sont en passe de bouleverser.

Héritier de CPNT, voilà 34 ans que le Mouvement de la Ruralité est engagé dans la défense de la ruralité, dans la défense d’une population que les classes politiques, de droite comme de gauche, n’ont toujours considérée qu’avec condescendance. S’y ajoute aujourd’hui un rien d’opportunisme face à une détresse qui se situe au cœur de la ruralité, celle de nos agriculteurs. On le sait, tout le monde le répète à l’envi, poids de normes, concurrence déloyale, rémunérations et retraites de misère, bureaucratie envahissante, travail harassant, subventions aléatoires, pour les agriculteurs comme pour les pêcheurs l’avenir est sans visibilité. La passion du métier, le courage et la dignité ne suffisent plus à endiguer un profond sentiment d’abandon qui mène droit à la colère et au désespoir.

Le Mouvement de la Ruralité appelle à la mobilisation du monde rural pour soutenir le combat des agriculteurs. L’apport des agriculteurs va bien au-delà du travail de la terre, au-delà de l’alimentation, il est partie prenante d’une civilisation dans son contact privilégié avec la nature qui nous entoure, avec les traditions qui s’y attachent.

Nous serons vigilants.

Eric DOUMAS, le nouveau président du Mouvement de la Ruralité, a profité de son déplacement en Maine-et-Loire sur la commune de Andard en compagnie de Frédéric PERRAUD (secrétaire général), Sébastien GARNIER (Trésorier national), pour présenter sa nouvelle ligne politique et en présence des cadres du Mouvement de la Ruralité en Pays de la Loire dont Catherine LAILLE, Erick MAROLLEAU, Gérard HERVE, Stéphane TROTTIER.

Hubert de MONTMARIN, fin communicant, l’a accompagné et soutenu dans cette démarche qui privilégie enthousiasme, humanisme et proximité.
Nature & traditions. Le Mouvement de la Ruralité n’oubliera pas les fondamentaux qui cimentent nos perceptions du monde qui nous entoure.

« ... Aujourd’hui, nous allons être force de propositions sur l’ensemble des thématiques du monde rural. Rappelons-nous que dans notre pays, nous ne sommes pas minoritaires. Quasiment tous les Français ont un lien avec la ruralité : des parents, des grands-parents, des souvenirs, un ancrage, une histoire… Voici ce qui constitue l’ADN de notre parti. C’est cette diversité que nous souhaitons valoriser, conforter et accompagner dans son développement… »

« La beauté des paysages mérite le combat contre les éoliennes… » est une phrase choc , parmi tant d’autres, entendue ce matin. La prise de conscience nous autorise à affirmer que la seule écologie utile est concrète, pragmatique et attentive au réel. Elle s’inspire de notre héritage.

Eric DOUMAS conclut en affirmant : «… La ruralité a trouvé son parti »

C’est à travers le partage de véritables valeurs que le chanteur basco-landais, David Olaïzola, et le président du Mouvement de la Ruralité, Eddie Puyjalon, ont souhaité unir leur voix au sein d’un CD de 5 titres, pour la défense de nos traditions.

Face à l’extravagance dogmatique des nouveaux députés antispécistes et antitout, cet opus arrive à point nommé comme un hymne à la ruralité et à ses traditions.

De toute évidence, Sandrine Rousseau et Aymeric Caron n’en seront que peu fans, mais de nombreux chasseurs et autres amoureux des traditions rurales en assurent déjà la commande.
 

 

Le CD « Ruralité, Terre de liberté » est disponible sur notre site internet

Hier, Le Mouvement de la Ruralité l’avait dit, aujourd'hui, il l’a fait ! Dans vos circonscriptions et sur Smartrezo (lien), retrouvez nos candidats.

Après le premier galop d’essai du jeune parti de la Ruralité aux élections régionales de Nouvelle-Aquitaine en obtenant près de 8% de voix dépassant au passage LFI et de nombreuses formations politiques, Le Mouvement de la Ruralité avait annoncé qu’il ne présenterait pas de candidat à l’élection présidentielle, préférant organiser et inviter les différents candidats à un grand oral sur la Ruralité avec la signature des 30 points proposés par Le Mouvement de la Ruralité.
Aujourd’hui, l’objectif du Mouvement de la Ruralité est d’assurer son avenir par sa présence aux élections législatives et de porter son programme et ses valeurs, en voulant faire entendre la parole de toutes celles et ceux qui ne se reconnaissent plus dans les propositions que leur formulent les technocrates et les professionnels de la politique.

Aussi, toujours dans un esprit de partage, Le Mouvement de la Ruralité a fait le choix de ne pas présenter de candidats là où Résistons de Jean Lassalle en présentait dans ces élections législatives.
A contrario, Le Mouvement de la Ruralité avait annoncé sa présence face aux extrémistes animalistes et aux candidats porteurs d’une écologie radicale et punitive pour les territoires ruraux à l’image de ceux qui poussent l’implantation d’éoliennes dangereuses pour les hommes, les animaux et l’environnement.

Ainsi, c’est avec une certaine fierté que Le Mouvement de la Ruralité a positionné :

• Abdel Aïssou, ancien sous-préfet face à Loïc Dombreval, député animaliste sortant, ANTI-CHASSE et ANTI-ELEVAGE dans les Alpes-Maritimes, 
• Bernard Borel, président régional Le Mouvement de la Ruralité, face à Barbara Pompili dans la Somme, 
• Sandrine Rousseau, candidate Le Mouvement de la Ruralité, face à Sandrine Rousseau (candidate EELV de la NUPES) à Paris, pourfendeuse radicale de nos us de la ruralité,
• Christine Poisson, ancienne députée européenne et vice-présidente de la Coordination Rurale, face à Cédric Villani le bobo écologiste mathématicien,
• Jacques Lemoine, pêcheur et président départemental Seine et Marne Le Mouvement de la Ruralité, face à Patricia Lemoine signataire du RIP et opposante à la chasse,
• Et quelque 90 autres candidats sur la France métropolitaine, la Réunion et à l'étranger.

Les candidates et candidats du Mouvement de la Ruralité, porteront un véritable programme de développement des territoires ruraux, de défense des services publics, de l’agriculture, des circuits courts, d’une écologie du bon sens, de la fin de la métropolisation pour privilégier le développement des villes moyennes, de l’aménagement du territoire, des déserts médicaux aux propositions en matière de handicap et de la défense des traditions, cynégétiques, halieutiques, taurines ou gastronomiques.

C’est avec le message : " Avec les candidats du Mouvement de la Ruralité, retrouvons le chemin du bon sens ! " que l’ensemble des candidates et des candidats porteront fièrement la défense de la France rurale.
L’objectif de cette nouvelle étape pour le Mouvement de la Ruralité est de s’inscrire durablement dans le débat politique national afin que l’aménagement des territoires ruraux y occupe toute sa place, et non simplement, à travers quelques propositions fugaces et sans lendemain évoquées lorsque les candidats des partis politiques sont « en campagne ».