Laurent MEGE et Magaly DESBOIS sont en GAEC et éleveurs à Tortebesse, petite commune de montagne du Puy-de-Dôme. Ils produisent du lait et comme tous les agriculteurs ne comptent pas leurs heures.Jusqu’en 2015, ces agriculteurs et éleveurs de Tortebesse ne rencontrent pas de problèmes.

Leurs problèmes commencent avec la construction d’un parc industriel éolien. Ainsi à partir de 2017, la mortalité INEXPLIQUÉE des bovins devient régulière, les vaches maigrissent, ont le ventre qui gonfle, mangent et donnent cependant de moins en moins de lait. Les veaux qui arrivent à l’âge de 7/9 mois sont ballonnés et meurent. Le vétérinaire qui suit cette ferme sur le plan sanitaire fait des prises de sang supplémente les bovins en divers compléments alimentaires, rien n’y fait, la mortalité continue.
Des autopsies sont réalisées sur les bêtes décédées et ne révèlent strictement rien non plus ! Pendant ce temps, le couple d’éleveurs commence à avoir des maux de tête, de plus en plus fréquents jusqu’à en devenir permanents. Les problèmes financiers sont alors nombreux, mais le couple MEGE continue de travailler et pleure à chaque nouvelle mort d’un animal.

L’hypothèse la plus vraisemblable issue d’études réalisées en différents lieux de France par des géobiologues réside dans les ondes électromagnétiques issues du parc industriel éolien. A cela, il est possible d’ajouter le possible transport des pertes de courant des câbles enterrés par les rivières souterraines qui passent sous leurs prés et bâtiments.

De 2017 à aujourd’hui, 29 octobre 2021, Laurent Mège et Magaly Desbois ont perdu 152 bovins !

En décembre, la banque se déplace sur la ferme pour estimer les biens en vue de la vente de leurs biens. Nous ne pouvons pas laisser faire cette nouvelle erreur, nous nous devons de les aider.

Le Mouvement de la ruralité se mobilise politiquement pour aider Laurent et Magaly. Le 10 décembre, Eddie Puyjalon, président de LMR tiendra une réunion, en présence de sénateurs, de conseillers régionaux et de cadres LMR, pour alerter les pouvoirs publics.

MAIS L’URGENCE EST MAINTENANT : LAURENT MEGE ET MAGALY DESBOIS ONT BESOIN D’AIDE FINANCIÈRE.

Tous ensemble nous pouvons réunir assez d’argent et empêcher la banque de procéder à la vente des matériels ! Nous devons faire vite pour permettre à ce couple d'éleveurs de ne pas perdre leur ferme, leur troupeau et leur maison. Manifestez-leur votre soutien via la cagnotte solidaire en ligne LEETCHI :

https://www.leetchi.com/c/sauvons-des-eleveurs-auvergnats

LMR compte sur vous !

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Au pays de Pagnol, il est des histoires qui pourraient prêter à sourire, sauf si la santé des hommes et des animaux n’en était comptée. Ainsi, en a décidé le TGI de Montpellier quand elle ordonne la destruction de sept éoliennes à Lunas afin de protéger des rapaces, notamment dans le cas d’une menace vitale pour un couple d’aigle royal.

Ainsi, après plus de 10 années de procédure judiciaire la décision finale vient acter le clap de fin pour ce parc éolien ! Évidemment Le Mouvement de la Ruralité s’en réjouit, mais comment ne pas être révolté en pensant à tous les malades victimes des éoliennes, aux parents dans le désarroi face à des cancers pédiatriques inexpliqués et à tous les éleveurs qui subissent des milliers de mortalités animales dans d’atroces souffrances et vivent dans un enfer sanitaire au quotidien.

Y aurait-il donc une nouvelle justice ? Celle qui s’applique rapidement et en priorité pour des animaux sauvages, mais qui ne s’intéresserait pas aux conditions de vie des hommes et des animaux domestiques. Outrageant et désespérant ! Le politique a failli et la justice des hommes tarde à prendre la dimension de ce scandale d’État.

Le Mouvement de la Ruralité continuera à solliciter les plus hautes juridictions afin que justice soit rendue et qu’un moratoire soit mis en place rapidement pour un indispensable principe de précaution.    

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Suite à la publication du rapport ministériel sur l’état des élevages à proximité du parc éolien des Quatre Seigneurs en Loire-Atlantique, le Mouvement de la ruralité demande, par la voie de son avocat, maître Fabrice Di Vizio l’arrêt immédiat du parc éolien par un dépôt ce vendredi 12 février d’un référé mesure utile au tribunal administratif de Nantes.

Dans son rapport, la mission reconnaît la concomitance des troubles dans les élevages depuis la construction du parc éolien. Or, les troubles indiqués dépassent les 500 vaches mortes. La mission relève également qu'elle a été saisie d'informations sur des problèmes sanitaires humains. Les auteurs rajoutent que la problématique humaine n'a pas été traitée, car il manquait le ministère de la Santé comme composante à la mission. Une absence inconcevable pour LMR alors, que les services de l’État et de l’ARS avaient été saisis par les habitants, ce que mentionne le rapport.

Face aux troubles et à leurs conséquences, il y a urgence à agir. Madame Bouvet voit son cheptel réduit par les mortalités, les pathologies sanitaires et autres nuisances subies, auxquelles il faut rajouter sa santé qui se dégrade de jour en jour, comme celle des riverains.

Dans cette situation de maltraitance animale, il n'est pas concevable, après la constatation des faits et sa déclinaison ministérielle par ledit rapport, qu'il n'y ait pas d’ordonnance préfectorale pour un arrêt immédiat du parc éolien, de l'ensemble des alimentations électriques et du gel de tous les travaux d'ordre électrique, géologique sur l'ensemble du réseau et de la zone concernée.

Le Mouvement de la Ruralité trouve scandaleux qu'au lendemain de la publication du rapport, des entreprises viennent intervenir sur le réseau électrique et remplacer des transformateurs alors qu'une enquête est en cours !

Souffrance animale, souffrance et santé humaine, dissimulation de preuve de causalité, sont autant d’éléments qui imposent par voie de justice l'arrêt immédiat du parc des Quatre Seigneurs !

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Le Mouvement de la ruralité considère que la publication du rapport ministériel sur l’état des élevages à proximité du parc des quatre Seigneurs impose son arrêt pour principe de précaution.

Le rapport CGEDD et CGAAER (lire le document) dispose pour la première fois de faits établis concernant des problèmes évidents sur les élevages bovins et nécessitant une étude avec un arrêt du parc pour dix jours.

Ce rapport renforce l’urgence à stopper ce parc éolien et confirme le choix d’une plainte déposée par LMR devant la Cour de Justice de la République (CJR), concernant le Premier ministre et trois ministres dans ce dossier.

Il y a là manifestement un manquement à agir du ministère de la Santé puisque ce rapport fait état de nombreuses sollicitations en matière de santé humaine et qu’à aucun moment les deux ministères, concernés par ledit rapport, saisis par les nombreux témoignages sur des enjeux de santé humaine n’a débouché sur une saisine de sa part. Ces témoignages avaient pourtant été portés à la connaissance du préfet de la Loire-Atlantique et de l’Agence de santé Régionale (ARS).

LMR juge également indécent et condamnable d’avoir occulté la santé humaine dans ce rapport qui analyse exclusivement les problèmes sanitaires sur les animaux d’élevage.

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Le rapport commandité par les ministères de L’Environnement et de l’Agriculture sur les méfaits des parcs éoliens rencontrés sur plusieurs exploitations d’élevage riveraines était attendu avec grand intérêt par les exploitants et toutes les victimes pour décembre 2020.

Ce rapport proposait des recommandations sur la base des constatations et des analyses faites par des ingénieurs, délégués généraux du Conseil général de l’Environnement et du Développement durable (CGEDD) et du Conseil général de l’Alimentation, de l’Agriculture et des Espaces ruraux (CGAAER) sur le Parc éolien des quatre Seigneurs, chez Céline Bouvet et Didier Potiron est d’autres exploitations d’élevage, notamment chez Stéphane Lebechec.

Le ministère de la Transition écologique avait annoncé sa publication en ce début d’année. Curieusement, ce fameux rapport tant attendu, qui s’ajoute aux 25 études réalisées ces 7 dernières années, serait en errance dans les couloirs ministériels ! Pourtant, selon certains parlementaires, il serait signé depuis de nombreuses semaines par la ministre.

Le Mouvement de la ruralité ne peut imaginer que le gouvernement joue la montre et lui demande de le publier sans attendre, par respect des éleveurs concernés et des citoyens victimes des dommages collatéraux causés par les éoliennes, les antennes relais et les lignes à haute tension.

 

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