Les Pêcheurs sacrifiés au nom de l’écologisme radical

Il n’y a plus de place pour l’homme, pour l’éleveur, l’agriculteur et encore moins pour le pécheur ! Plus possible de pêcher là où les phoques pullulent, plus possible de pêcher là où les dauphins chassent.

On interdit en France la pêche au nom de l’écologisme, on surprotège des espèces qui se portent bien comme on fait disparaître le pastoralisme pour des loups et des ours réintroduits au nom d’écologie punitive.

Le Conseil d’État qui devient le bras armé de ces écologistes radicaux devrait s’inquiéter de l’impact des parcs éoliens offshores sur les cétacés, les dauphins et autres marsouins. Ses juges devraient aussi s’inquiéter de la vie des hommes de la mer avant d’interdire à tout va et de suivre aveuglément l’écologisme radical.

On interdit la pêche des aloses et des lamproies dans nos fleuves et rivières, mais on laisse les espèces invasives les prédater en grand nombre et les stations d’épuration déverser leur lot de polluants, altérant la survie des espèces.

Le pêcheur devient le bouc émissaire, tout comme le chasseur ou l’agriculteur, d’un monde aseptisé qui refuse la mort du moindre animal, mais ne s’indigne plus de celui des hommes.

Les pêcheurs comme les agriculteurs sont écrasés par les règlements européens qui sont débattus loin du terrain et de la réalité.

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