Le Mouvement de la ruralité est stupéfait de la proposition de la convention citoyenne visant à abaisser la vitesse de 130 km/h à 110 km/h sur les autoroutes.

Voilà une proposition qui n’est que le résultat d’une information tronquée destinée à faire plaisir aux écologistes de tous poils et à servir l’injuste politique gouvernementale de stigmatisation des véhicules diesel. Or, si cette assemblée avait réellement travaillé et si elle avait consulté plus largement, elle aurait su qu’une simple amélioration de la carburation de ces véhicules permet d’abaisser de 70% les particules de ces moteurs et d’économiser 15% de carburant... Une solution de bon sens, non punitive écologique et sociale !

Là, pas de politique punitive, mais incitative à la mise en place de ces process simples et peu coûteux. Face à un déni de démocratie, à une convention citoyenne aux travaux tronqués, éloignés du peuple et notamment des attentes des ruraux, LMR va soutenir et promouvoir la pétition initiée par 40 millions d’automobilistes contre le passage aux 110 km/h ! https://www.40millionsdautomobilistes.org/merci-non-aux-110-sur-autoroute  

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En trois jours seulement, ce sont plus de 100 parlementaires qui ont spontanément soutenu la tribune « Le syndrome du Pangolin ! » rédigée par Eddie Puyjalon et Yves d’Amécourt respectivement élus président et porte-parole du Mouvement de la Ruralité (LMR) ce samedi 20 juin 2020, en réaction à celle des des 62 parlementaires, conduite par Loïc Dombreval contre les chasses traditionnelles (lire le texte).

Cette tribune est une ode à ces savoir-faire, ces arts naturels fruits de nos us et coutumes et de nos traditions. Plus largement elle est un soutien aux usages, aux coutumes locales et à la vie rurale.

De nombreux Conseillers régionaux, départementaux et maires souhaitaient également s'associer à cette tribune. Nous donnerons suite à celle-ci sur le site du Mouvement de la ruralité...

Vous aussi, Conseillers régionaux, Conseillers départementaux, maires, responsables associatifs ou simples citoyens vous pouvez soutenir cette tribune avec notre  formulaire de soutien en ligne 

 

Le Syndrome du pangolin !

Depuis quelques mois l’agriculture, la forêt et la chasse sont victimes d’attaques de la part de certains médias et de certains élus.

Il y a quelques jours, le député LREM Loic Dombreval a publié une tribune avec 62 parlementaires pour demander “la fin des chasses traditionnelles” (lire le texte). Rien que ça !

En pleine crise du coronavirus, l’abandon des chasses traditionnelles serait, selon les signataires, devenu “urgent”, au nom de “la reconnaissance du bien-être animal” et avec “l’exigence éthique que la chasse du XXIe siècle appelle de ses vœux”.

« Le monde d’après » par-ci, « le monde d’après » par-là, ils sont tous atteints du « syndrome du pangolin » !

Autant dire que ce groupe de parlementaires ne doit pas bien connaître les « chasses traditionnelles » dont il parle. S’il y a bien un endroit où l’éthique et l’honneur ont un sens, sont mis en valeur, tant pour les animaux que pour les hommes, c’est dans l’organisation des chasses traditionnelles ! S’y ajoutent la convivialité et la mixité sociale qui sont le ciment de la vie rurale que nous souhaitons défendre.

Pour défendre les chasses traditionnelles, il faut reconnaître le principe de subsidiarité. Un député des Alpes ne peut pas juger des traditions locales en Gironde. Un député de Gironde ne peut pas juger des usages dans le Nord. Un habitant des villes ne peut pas, sans les connaître, juger des coutumes d’un habitant des champs. Il en va de la chasse comme de la culture : l’exception doit être la règle ! La nation est une et indivisible, mais elle est diverse et chaque territoire mérite le respect de son histoire, de son patrimoine matériel et immatériel et de son altérité.

Avant de juger, il faut comprendre. Et lorsqu’on a compris, on finit par embrasser des causes que l’on pensait combattre … C’est le processus que décrit Marcel Pagnol dans “La gloire de mon père”. Trouvons donc des passerelles pour faire connaissance plutôt que de diviser le pays en instrumentalisant des caricatures. Informons pour réduire les fractures qui minent le pays. Au lieu de bâtir des murs d’incompréhension, construisons des ponts du savoir. A l’heure où la société française se délite, trouvons de nouveaux ciments pour bâtir la cohésion sociale dont nous avons tant besoin.

Les chasses traditionnelles, ancrées dans les usages locaux, les paysages et les traditions de nos territoires de métropole et d’outre-mer, portent nos valeurs : le respect et la connaissance de la nature, le rôle de l’homme comme acteur de la biodiversité, l’écologie au sens 1er du terme, comme “la science de l’habitat”. Nous n’imaginons pas, comme d’autres, la terre sans les hommes ; des hommes, qui, comme les chasseurs, sont acteurs de la préservation du climat, de la biodiversité et de l’environnement, bien plus qu’observateurs ou commentateurs.


 

 Eddie PUYJALON
Président du Mouvement de la ruralité
 Yves D'AMECOURT
Porte-parole du Mouvement de la ruralité

 

Les 100 signataires 

 
Sénateur-trice-s :
BAS Philippe (LR-50), BONFANTI-DOSSAT Christine (LR-47), BOUCHET Gilbert (LR-26), BOULOUX Yves (LR-86), BOYER Jean-Marc (LR-63), BRISSON Max (LR-64), BRUGUIÈRE Marie-Thérèse (LR-34), CANAYER Agnès (LR-76), CARDOUX Jean-Noël (LR-45), CHAIN-LARCHÉ Anne (LR-77), CHAUVIN Marie-Christine (LR-39), CHEVROLLIER Guillaume (LR-53), CONSTANT Agnès (LREM-34), COURTIAL Édouard (LR-60), CUYPERS Pierre (LR-77), DE CIDRAC Marta (LR-78), DE LEGGE Dominique (LR-35), DE MONTGOLFIER Albéric (LR-28), DE NICOLAY Louis-Jean (LR-72), DELATTRE Nathalie (UDI-33), DESEYNE Chantal (LR-28), DUFAUT Alain (LR-84), DUPLOMB Laurent (LR-43), DURANTON Nicole (LR-27), ESTROSI SASSONE Dominique (LR-06), EUSTACHE-BRINIO Jacqueline (LR-95), FOURNIER Bernard (LR-42), FRASSA Christophe-André (LR-HF), GINESTA Jordi (LR-83), GRUNY Pascale (LR-02), GUENÉ Charles (LR-52), HUGONET Jean-Raymond (LR-91), IMBERT Corinne (LR-17), LAMURE Élisabeth (LR-69), LANFRANCHI DORGAL Christine (LR-83), LASSARADE Florence (LR-33), LAURENT Daniel (LR-17), LEFÈVRE Antoine (LR-02), LEROY Henri (LR-06), LONGUET Gérard (LR-55), LOPEZ Vivette (LR-30), LUCHE Jean-Claude (UC-12), MANDELLI Didier (LR-,85), MEURANT Sébastien (LR-95), MOGA Jean-Pierre (UC-47), MORHET-RICHAUD Patricia (LR-05), MOUILLER Philippe (LR-79), PANUNZI Jean-Jacques (LR-2A), PRIOU Christophe (LR-44), PUISSAT Frédérique (LR-38), RAPIN Jean-François (LR-62), RETAILLEAU Bruno (LR-85)

Député-es : ABAD Damien (LR-01), BATUT Xavier (LREM-76), BAZIN Thibault (LR-54), BONY Jean-Yves (LR-15), BRETON Xavier (LR-01), BRINDEAU Pascal (UDI-41), BRUN Fabrice (LR-07), CATTIN Jacques (LR-68), CINIERI Dino (LR-42), CORDIER Pierre (LR-08), DASSAULT Olivier (LR-60), DE COURSON Charles  (LT-51), DE GANAY Claude (LR-45), De LA VERPILLIERE Charles (LR-01), DEFLESSELLES Bernard (LR-13), DESCOEUR Vincent (LR-15), DI FILIPPO Fabien (LR-57), DOOR Jean-Pierre (LR-45), FERRARA Jean-Jacques (LR-2A), FURST Laurent (LR-67), GENEVARD Annie (LR-25), GOSSELIN Philippe (LR-50), HUYGHE Sébastien (LR-50), JACOB Christian (LR-77), LACROUTE Valérie (LR-77), LAGARDE Jean-Christophe (UDI-93), LASSALLE Jean (L&T-64), LEVY Geneviève (LR-83), LORHO Marie-France (NI-84), MAQUET Emmanuel (LR-80), MARLEIX  Olivier (LR-28), MENUEL Gérard (LR-10), MOREL-A-L'HUISSIER Pierre (UDI-48), PELTIER Guillaume (LR-41), QUENTIN Didier (LR-17), RAMOS Richard (MDA-45), REISS Frédéric (LR-67), REITZER Jean-Luc (LR-68), SERMIER Jean-Marie (LR-39), SERRE Nathalie (LR-69), TAUGOURDEAU Jean-Charles (LR-49), TEISSIER Guy (LR-13), VALENTIN Isabelle (LR-43), VIALA Arnaud (LR-12), VIGIER Jean-Pierre (LR-43), WOERTH Eric (LR-60)

Député-es européen-ne-s : BELLAMY François-Xavier (LR), HORTEFEUX Brice (LR), SANDER Anne (LR)

Personnalité : DE VILLIERS Philippe

 

Télécharger la tribuneSoutien en ligne de la tribune

 

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Article de chassons.com du 10 juin 2020

Le monde de la chasse est très gravement attaqué en ce moment par des animalistes soutenus par quelques grands médias et personnalités politiques. Menaces envers le président Willy Schraen, bad buzz orchestrés par Pierre Rigaux, Hugo Clément, Brigitte Bardot ou encore Nagui, les atteintes à l’encontre de la chasse ont franchi une nouvelle étape hier avec la tribune signée par 62 parlementaires et demandant la fin des chasses traditionnelles. Le sujet devenant désormais politique, nous avons proposé à Eddie Puyjalon, le président du Mouvement de la Ruralité de répondre à nos questions afin d’analyser la période que nous traversons. Entretien.

EPuyjalon 01


Baudouin de Saint léger - Chassons.com. Le député LREM Loic Dombreval vient de publier une tribune avec 62 parlementaires pour demander la fin des chasses traditionnelles. Mais entre les policiers et le coronavirus, on se demande si la chasse n’est pas en ce moment le punching-ball préféré des politiques et des médias, pourquoi selon vous ?

Eddie Puyjalon  Aujourd’hui les chasseurs, comme les agriculteurs, sont la cible préférée de certains politiques et de plusieurs médias. C’est probablement la conséquence de plusieurs facteurs. Tout d’abord, l’action permanente et puissante des associations animalistes ayant de gros budgets, pour certaines alimentées par des fonds étrangers dans le but de mettre à mal l’élevage ou la consommation carnée. D’autres ont trouvé ce moyen pour vivre lucrativement de cet engagement. Il faut juste faire le buzz et faire du trash pour sensibiliser l’opinion. Les médias veulent du sang, des tags malsains, des seins nus et des slogans extrêmes… C’est la porte ouverte permanente à L214, à Peta, à la LPO et à toutes ces associations qui ne vivent que grâce à leurs actions violentes ou par la provocation de leurs actions. Il en est ainsi d’Allain Bougrain-Dubourg, de monsieur Rigaux, comme de L214 ou de Ava… Avec la Covid-19 et le confinement, les Français ont eu besoin de nature pour retrouver une forme de liberté et l’action des militants animalistes a été d’amplifier les mensonges sur le ressenti des animaux et sur le danger de la chasse à l’image de la dernière lettre scandaleuse de Brigitte Bardot.

Pourquoi les médias sont-ils incapables  de présenter les actions du monde cynégétique ?

E.P. Les grands médias ne rentrent pas en profondeur dans l’organisation du monde cynégétique, ni même dans ses actions environnementales permanentes. Là encore, les commanditaires sont les grands financiers de ces organes de presse, la ligne éditoriale est actée à l’avance. Il n’est pas dans leurs intentions de donner une vitrine juste de l’action des chasseurs, il leur faut de l’écologie politique et de l’écologie punitive.  

Pourtant les chasseurs sont de vrais acteurs sur le terrain de la biodiversité ?

E.P. Les chasseurs et leurs structures œuvrent toute l’année sur des sujets environnementaux.  Ils assurent l’entretien des milieux, plantent des arbres, sèment des jachères faune sauvage en partenariat avec le monde agricole et les apiculteurs. Ils assurent de nombreuses études scientifiques, comptent, observent, évaluent, analysent. Ils poussent la connaissance au maximum, posent des balises sur les espèces pour mieux connaître leur vie, leur migration.  Les chasseurs s’investissent dans l’aménagement du territoire, ils organisent des nettoyages de la nature. Ils sont aussi très actifs quand des projets viennent perturber les équilibres naturels comme les projets éoliens dans des couloirs de migrations ou d’hivernage. Ils sont de plus des sentinelles de la nature au quotidien face aux risques sanitaires ou aux espèces invasives.

Et plus concrètement sur le terrain politique, les chasseurs s’investissent également sur les dossiers environnementaux ?

E.P. Mon exemple personnel le prouve, moi qui suis un chasseur élu en région Nouvelle-Aquitaine, je passe de nombreuses heures sur des sujets environnementaux. Mes interventions sont souvent sur l’écologie et les pollutions, qu’il s’agisse des perturbateurs endocriniens avec les stations d’épuration ou de l’impact des éoliennes avec les pollutions aux terres rares, les infrasons et les champs électromagnétiques, sur les espèces invasives, mais aussi sur le bon sens pour l’entretien des réseaux hydrauliques et des zones humides. Mon implication est à la hauteur de celle des représentants d’EELV. Mais ma différence, c’est que je ne pratique pas le dogmatisme ni l’écologie punitive !

Les chasses traditionnelles seraient nuisibles à l’image de la chasse, au contraire ne seraient-elles pas selon vous une forme de diversité ?

E.P. Nos chasses traditionnelles sont un véritable patrimoine naturel pour la France et ses régions.  Elles sont l’histoire de la vie des hommes sur leur territoire, le fruit de leurs observations de leurs adaptations à la nature, de l’ingéniosité humaine dans ces modes de chasse. Avec elles, il y a nécessairement toute l’histoire de la gastronomie locale, de la convivialité et des fêtes rurales. On est loin des massacres et des souffrances bêtement mises en avant par ces parlementaires et les associations animalistes. Ils ne connaissent pas ces chasses et encore moins les passionnés qui les font vivre.  Ils répètent comme des perroquets la prose de la LPO et d’autres activistes de la cause animale qui ont besoin de ces extrémismes pour vivre et faire fonctionner leur petite entreprise, parfois de près de 200 salariés. Excusez du peu !

Ceux qui s’opposent aux chasseurs n’ont que le bien-être animal à la bouche, mais la nature, dans toute sa beauté, ne cache- t-elle pas aussi ses souffrances ?

E.P. C’est vrai, tous mettent à leur sauce le bien-être animal et veulent censurer des chasses traditionnelles qui sont pourtant sélectives et qui occasionnent bien moins de souffrance que la vie sauvage elle-même. Vont-ils empêcher la pie de crever les yeux du lapereau pour atteindre son cerveau durant de longues minutes avant qu’il ne trouve la mort ? Vont-ils empêcher les poules de piquer les jeunes oisillons tombés du nid, gesticulants, ensanglantés en piaillant et passant de bec en bec jusqu’à la mort ? Que disent-ils des brebis à moitié égorgées, les entrailles à l’air, parfois leurs agneaux, la panse éventrée par les crocs des loups… ? Vont-ils traîner devant les tribunaux pour maltraitance animale le héron qui a décimé toute une bande de grosses carpes qu’il ne pourra pas engamer et qu’il va laisser agonir sur le bord de l’étang la gueule ouverte au soleil, le corps percé par son bec effilé ? Bien sûr, ils pourraient aussi traîner les industriels de l’éolien qui inflige des douleurs aux chauves-souris, les viscères éclatés par les infrasons pulsés et qui décapitent des rapaces et autres volatiles. Ils pourraient même se mobiliser contre la souffrance animale infligée aux vaches et aux veaux proches de ces installations, ces animaux qui meurent dans d’atroces souffrances comme chez Stéphane Le Bechec ou Didier Potiron près du parc éolien des Quatre-Seigneurs (Loire-Atlantique)…

Les députés parlent de morts indignes et non sélectives des espèces chassées, avez-vous déjà vu beaucoup de députés venir le vérifier sur le terrain ?

E.P. Non ! bizarrement, on ne voit ni les écologistes ni ces députés animalistes ? En revanche, on voit un chasseur comme moi qui s’implique pour défendre la vie de ces éleveurs et celle de leurs animaux comme pour la vie sauvage. Car pour cette société bien-pensante, il est plus facile d’incriminer un chasseur que de jeter l’opprobre sur des énergies soi-disant vertes et qui sont pourtant facteur de souffrances animales.

Mais alors comment devons-nous faire pour mieux valoriser notre image ?

E.P. Les chasseurs doivent prendre à bras-le-corps la dimension environnementale tout en usant de tous les rouages de la communication. L’exemple de quelques nouveaux youtubeurs est intéressant, Richard sur Terre par exemple ou Philippe Lavit. De même, le champ pris par un média comme le vôtre ouvre cette voie de la communication. Je crois qu’il ne faudrait pas grand-chose pour sensibiliser les Français à l’aspect affectif de la chasse. Je suis persuadé qu’après l’épisode de la Covid-19, nous pourrions donner du sens aux valeurs que porte cet art naturel. Autour de la chasse, il y a la dimension sociétale et humaine. Tout un art de vivre qui rapproche l’homme de la nature sans dogmatisme. L’histoire des peuples inuits au Canada nous apprend cette leçon de vie et de l’impact que peut avoir la propagande de l’écologie punitive. Celle qui les a privés de leur relation à la chasse et à la pêche pour les plonger dans celle de la malbouffe… Le constat fut tellement catastrophique sur leur santé qu’aujourd’hui on les rééduque à la chasse et la pêche pour une alimentation équilibrée et en adéquation avec la vie boréale. Pour qu’ils redeviennent ceux qu’ils étaient, un peuple de chasseurs, pêcheurs, cueilleurs en adéquation avec leur environnement.

Comment voyez-vous la suite des débats ? Comment les chasseurs peuvent-ils défendre leur passion ?

E.P. Nous avons investi le champ de la science, celui du monde politique et, je crois, après tant d’années, qu’il va falloir investir celui des Français pour retrouver le chemin de leur cœur. Car à la différence des premiers qui peuvent changer souvent leur fusil d’épaule, nos compatriotes, au travers d’un partage sociétal, peuvent accorder pour longtemps leur confiance à des hommes et des femmes qui pratiquent la chasse dans le respect d’un environnement et d’une qualité de vie qu’il pourrait même envier un jour qui sait…

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Cela devient malheureusement presque une triste habitude... une sorte de rendez-vous régulier de la haine et de la vulgarité de la part de l’une des figures de proue des animalistes.

Brigitte Bardot, dans sa dernière lettre adressée au Président de la République diffusée sur les réseaux sociaux (lire son Tweet du 7 juin 2020), sombre encore dans la provocation, l’insulte et les menaces envers les chasseurs.
C’est une nouvelle sortie de route de BB à l’occasion de l’annonce visant à garantir la chasse du sanglier au 1er juin. Une décision pourtant jugée utile par les pouvoirs publics, dans le but d’éviter les dégradations dans les cultures et l’explosion des dégâts.

Le Mouvement de la ruralité condamne avec la plus grande fermeté les insultes et les menaces de Brigitte Bardot, notamment envers le président de la Fédération nationale des chasseurs Willy Schraen et informe de son intention de saisir la justice pour faire condamner ses propos ignobles envers des femmes et des hommes qui pratiquent cette activité légale.

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