Le 30 septembre 2020, l’association militante antispéciste L214 avait diffusé une vidéo choc suite à une intrusion dans un élevage de lapins en Bretagne.

Cette association bénéficie de nombreux dons privés, mais également d’une participation de  l’Open Philanthropy Project. Pour la seconde fois, la fondation américaine alloue une subvention de 1 228 000 € à l’association L-214 pour œuvrer pour le bien-être animal notamment dans l’élevage des poulets de chair en France.    Or, cette dernière est une organisation américaine qui finance également le développement de la viande artificielle. Sous couvert de sensiblerie et de bien-être animal, la finalité sonne faux…

Dénoncer d’un côté les conditions d’élevage pour mieux proposer une alternative de « fausse viande » sans souffrance animale… Mais l’influence et le pouvoir étant proportionnels au budget il serait naïf de la part du monde agricole d’ignorer ces attaques de plus en plus violentes.Une plainte avait ainsi été déposée suite à une énième intrusion en toute impunité de l’association animaliste.

Contre toute attente, l’exploitant agricole a pu obtenir réparation, faisant condamner L214 par la cour d’appel de Rennes le 30 novembre. Ce jugement inespéré après de trop longues années de harcèlement dans nos élevages français signera la fin des méthodes de propagande de cette association qui se réfugiait sous la liberté de la presse.

Certes une bataille vient-être gagnée, mais le combat s’annonce rude puisque l’avocate de L214 n’est autre que Hélène Thouy, candidate à la présidentielle pour le parti animaliste.

Ce parti créé en 2016 milite pour le droit des animaux avec entre autres l’interdiction de la chasse mais aussi des élevages fermés…Nous ne pouvons cautionner cette montée de l’extrémisme antispéciste et le Mouvement de la Ruralité demande au gouvernement de s’inspirer du modèle australien qui, depuis décembre 2020, annihile les avantages fiscaux de ces associations si leurs militants sont reconnus coupables d’intrusion, d’intimidation ou de harcèlement …

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Le Mouvement de la Ruralité, par ses cadres départementaux Alain Merly et Alexandre Vergnes, sera présent jeudi 28 octobre à 14h devant le tribunal d‘Agen en soutien aux agriculteurs Serge Bousquet Cassagne, Patrick Franken et à travers eux, au monde agricole lot-et-garonnais dans l’affaire du lac de Caussade à Pinel-Hauterive.

Jamais le monde paysan n’a autant subi de pressions et d’interdictions imposées par la nouvelle religion verte. Des décisions sectaires qui vont à l’inverse d’une gestion intelligente de la nature, servant seulement d’alibis aux idéologues de l’écologie punitive reniant l’homme au milieu de la nature.

Or, pour cette retenue d’irrigation du lac de Caussade, il s’agit simplement de gérer l’abondance d’eau en bon gestionnaire de ce bien commun. Stocker l’excès d’eau, c’est limiter les méfaits des inondations à répétitions et garder une partie du trop-plein d’eau qui repartirait à l’océan.

En rajoutant une politique de re-végétalisation de nos espaces ruraux, en stockant l’excédent d’eau, on aura toutes les conditions réunies pour lutter efficacement contre le dérèglement climatique et les sécheresses.

Le Mouvement de la ruralité plaide pour une relaxe des deux agriculteurs, car ils n’ont fait que servir la cause juste du monde agricole dans un projet validé par toute la représentation institutionnelle et politique locale avant que le dogmatisme et le jacobinisme vert ne viennent mettre leur grain de sable…

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Par lettre en date du 14 septembre 2021, le président du Mouvement de la Ruralité vient de saisir le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, la préfète de région Fabienne Buccio et la rectrice de l’académie de Poitiers, madame Bénédicte Robert sur un acte inapproprié en milieu scolaire. 

Comme précédemment lors d’une propagande distribuée par l’association L-214 en milieu scolaire (Lire la lettre LMR au ministre de l'Education du 21 octobre 2020 - Lire la réponse du ministre), c’est à nouveau au sein d’un organisme scolaire, l’école intercommunale des Ondines d’Aunac sur Charente (16),  qu’un tract faisant référence à  la programmation d’une manifestation (conférences) le 19 septembre 2021 par l’association Protection animale Charente-sanctuaire des poids plumes avec la participation du Parti Animaliste ainsi que de nombreuses associations militantes telles que l’association AVA (Abolissons la Vénerie Aujourd'hui), l’association 269Life, et les associations L214, ONE VOICE, CRAC EUROPE, SEA SHEPHERD, etc.

Pour mémoire, le Parti Animaliste est un parti politique qui s’est déjà présenté à des élections (au niveau européen et local) et qui s’organise actuellement pour présenter une candidate à la prochaine élection présidentielle. Il s’agit d’un parti politique dont la publicité n’est pas à être faite dans l’enceinte d’un établissement d’enseignement.

De même, pour l’association « L214 », le gouvernement s'est d'ailleurs déjà opposé à son intervention au sein de l'École et l’a signifié largement à tous les responsables d’établissement.

Il est intolérable que le corps enseignant se fasse le porte-parole d'associations qui dénigrent les acteurs de la ruralité et mènent souvent des actions en marge de la légalité, à l'image de certains membres d'AVA et de L214 ayant fait l'objet de condamnation pénales.

Il est inadmissible qu’un professeur des écoles distribue des tracts et fasse la promotion d’une manifestation à vocation politique. Il s’agit d’une violation de son obligation de neutralité qui est consacrée par l’article 25 du titre 1er du statut général des fonctionnaires depuis la loi n°2016-483 du 20 avril 2016 relative à la déontologie et aux droits et obligations des fonctionnaires (lire la circulaire ministérielle de 2018 "Collaboration avec les associations en matière d'éducation à l'alimentation).

Le Mouvement de la Ruralité a demandé une intervention pour sanctionner ces dérives en milieu scolaire

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Un élu EELV remet en cause les attributions de subventions de la ville aux scouts de France pour manque de mixité. Probablement pas suffisamment vert au goût de cet élu écologiste lyonnais, qui rejoint ainsi ses autres collègues verts qui n’aiment pas le tour de France, les sapins de Noël, les bateaux à voile et les avions dans le ciel.

Le Mouvement de la Ruralité se dit qu’il y a au moins une élue verte qui ne va probablement pas apprécier cette sortie de route. Léonore Moncond’huy, la très jeune maire EELV de Poitiers, responsable scout il n’y a pas si longtemps, devra peut-être donner une formation très nature à Alexandre Chevalier tant sur la relation des jeunes scouts à la nature qu’à la mixité au sein des scouts de France.

Jamais les Verts n’ont autant bien porté leur surnom d’antitout, tellement leur dogmatisme devient ridicule et insupportable…

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Il était une fois, une organisatrice d’une fête rurale « chasse et campagne » qui s’était retrouvée du jour au lendemain au cœur d’une vindicte populaire. Une cabale orchestrée par des animalistes de mauvaise foi. C’est l’histoire nauséabonde de l’idiotie où la manipulation conduit à l’extrémisme, au totalitarisme, au harcèlement et aux menaces les plus abjectes qu’il soit.

Les faits remontent à juillet 2020. Une simple démonstration d’aptitude à la douceur et au comportement de tolérance d’une belle meute de chiens en présence d’un jeune veau de race salers au sein de la meute. Il n’en fallait pas plus pour les antispécistes pour en détourner l’information par une situation de démonstration de chasse à courre sur fond de massacre du veau. Le Mouvement de la ruralité ne pouvait rester passif devant de tels agissements

Les associations animalistes ont relayé l’information en France et à l’étranger en appelant à dénoncer cet acte odieux tout en transmettant le numéro de téléphone de l’organisatrice de l’évènement. Dès lors, ce fut un déchaînement de haine, d’agressions verbales les plus abjectes qu’il soit sur elle et sa fille, voire des menaces de mort. Dépassée par tant de violence, l’organisatrice victime de ce déferlement de haine a porté plante et espérer une sanction pour les menaces adressées.

LMR a donc proposé les services de son avocat pour l’accompagner devant le tribunal. L’une des personnes agissant sur un réseau social vient d’être condamnée à 500 € de dommage et intérêt. Le parquet, comme la gendarmerie, poursuivent les investigations visant à poursuivre les autres auteurs pour « cyber harcèlement » comme le recommande le Mouvement de la ruralité par la voix de son avocat.

 

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